mercredi

Aidez Marcello !

Lettre chaînée, faites passer à un maximum de vos connaissances

Le petit Marcello est né ainsi. Avec ce léger défaut de fabrication. Il peut être aussi bon que ces camarades, mais le handicap dont il souffre met en péril la qualité de sa vie.

A sa naissance, les médecins avaient assuré qu'il pourrait vivre et se développer sans problème pour autant qu'il ne fût pas soumis à des variations de température trop importants. S'il devait être confronté à de tels chocs thermiques, son corps risquait de se fendre.

Malheureusement, l'hiver a été rude.
Après seulement ses cinq premiers mois, le handicap de Marcello s'est étendu. Son corps est maintenant marqué d'un terrible balafre qui lui barre le torse. A terme, si la blessure devait s'étendre, il pourrait vraisemblablement être frappé d'un mutisme incurable.

J'ai conduit aujourd'hui Marcello chez le Médecin. Nous l'avons déshabillé. Il a jeté un coup d'oeil à la cicatrice, y a passé un doigt expert et sa première question n'a rien laissé présager de bon : Avez-vous une assurance maladie ? Quand je lui répondis que non, il a pris un air à la fois inquiet et embarrassé. Il m'a invité à m'asseoir.

Il faudra l'ouvrir complètement.

J'ai encaissé le choc comme je le pouvais. Je suis resté un moment sans voix. Je me suis ensuite répandu en anecdotes concernant le peu de temps que j'avais eu le temps de passer avec Marcello. Puis, je me suis tût à nouveau. J'ai dû avoir l'air pathétique, désespéré. A la périphérie de ma propre existence, j'ai entendu le docteur proposer de le garder quelque temps en observation. Pour des examens complémentaires. Je suis sorti, déboussolé. J'ai erré plusieurs heures dans le centre-ville, ne parvenant à me concentrer sur aucune pensée.

Pauvre, pauvre Marcello !
Complètement ouvert.
Ce qui signifie que l'opération devrait coûter plusieurs centaines d'euros !
(ce pour quoi je fais appel à ta générosité lecteur)

Aidez-moi à soigner Marcello. Il n'a pas encore assez chanté pour déjà être muet.

Vous pouvez verser vos dons dans ma main, car comme l'a dit un pêcheur cinghalais après le raz-de-marée indien de 2004 : "Si vous voulez vraiment m'aider, donnez-moi l'argent en main propre". Sans quoi, un financier risque de s'accaper l'argent et de construire un hôpital privé de luxe plutôt que de soigner le petit Marcello.

Ci-joint une photo de Marcello. Pour vous fendre le coeur et vous arracher quelques sous.

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